Les buts et modèles de la génération Z

Ils ont été confrontés à des enjeux majeurs comme les préoccupations liées au réchauffement climatique et aux ressources énergétiques, l’évolution marquée du domaine des télécommunications et du commerce international, le terrorisme et de nombreuses problématiques sociales.

Au plan international, ils ont vécu la montée de la Chine et de l’Inde comme puissances économiques, là où plusieurs types d’emplois sont maintenant relocalisés. Dans ce contexte, on a aussi questionné les jeunes sur leurs buts, pour se faire une idée de leur vision de l’avenir.

On a aussi soulevé la question des modèles. Ce qui est frappant, c’est que les filles admirent principalement leur mère ou leurs parents et grands-parents alors que pour les garçons, ce sont plutôt des gens hors de leur cercle familial comme Elon Musk, fondateur de Tesla et SpaceX, qui sont valorisés.

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Tiré de l’enquête Génération Z.

Génération Z – L’importance grandissante des médias sociaux

Sans grande surprise, la mise à jour de l’enquête nous apprend que l’utilisation des médias sociaux a fortement progressé chez les Z depuis trois ans.

En 2016, la proportion des jeunes utilisant les médias sociaux plusieurs fois par jour était de 61 % pour Facebook, 28 % pour Instagram et 34 % pour Snapchat. En 2019, l’utilisation quotidienne est passée à 70 % pour Facebook (+9 %), 69 % pour Instagram (+41 %) et 49 % pour Snapchat (+15 %).

En fait, seul Twitter est moins utilisé par les 25 ans et moins en 2019 comparativement à 2016 (-2 %).

En 2019, c’est maintenant Instagram qui remporte la palme de popularité chez les filles avec 80 % qui l’utilisent plusieurs fois par jour et seulement 1 % qui ne l’utilisent jamais. Facebook suit de près avec 80 % d’utilisation quotidienne et 4 % de non-utilisation.

À l’autre bout du spectre, on remarque que la proportion des filles n’utilisant jamais certains médias sociaux atteint 84 % pour Twitter et 66 % pour LinkedIn.

Du côté des garçons, c’est plutôt YouTube qui est le plus populaire avec 49 % d’utilisation fréquente (0 % de non-utilisation), à égalité avec Facebook (3 % de non-utilisation). Parmi les médias sociaux jamais utilisés, on retrouve Pinterest (68 %), Twitter (65 %) et LinkedIn (65 %).

Finalement, on observe que la proportion des filles utilisant les médias sociaux plusieurs fois par jour (80 % dans certains cas) est beaucoup plus grande que chez les garçons chez qui la proportion d’utilisation quotidienne atteint tout au plus 49 %.

Tiré de l’enquête Génération Z.

La génération Z accro à la techno?

La génération Z (nés après 1994) est élevée dans un monde ultra-connecté, où elle fait un usage intense des médias sociaux. Mais attention, il ne faut pas pour autant penser qu’elle n’est que le prolongement de la génération Y.

Le contexte technologique, économique, social et environnemental en a fait d’eux des jeunes connectés, émotifs et plutôt désinhibés. Tout en conservant une base commune avec les générations précédentes, ils se présentent avec leurs propres caractéristiques, leur réalité.
 
Les Z sont conscients que les autres générations les perçoivent comme des types dépendants de la technologie, mais ils considèrent que bien dosé, cela peut aussi représenter leur plus grande force : ils sont très agiles avec cette technologie.

Paresseuse, la génération Z?
Ils sont aussi capables d’introspection, car sur l’aspect de la paresse, ils sont conscients qu’on les voit ainsi et que cela peut être perçu comme une faiblesse. Mais être paresseux, ça peut aussi être une force. En effet, alors que j’interviewais une jeune fille dans le cadre de mes recherches, elle m’avait mentionné que sale fait d’être paresseuse avouée l’encourageait à demeurer constamment être à l’affût de moyens d’obtenir davantage de résultats avec moins d’efforts.
 
Par rapport à leur vision des autres générations, il sera intéressant de se questionner sur leur mauvaise impression à propos des X et des baby-boomers, qui sont bien souvent leurs patrons sur le marché du travail. Pour arriver à mieux les comprendre, il sera important de partir de cette réalité et de travailler à mettre en valeur les forces de chacune de ces générations.
 
On dit des Z qu’ils sont généralement plus sélectifs et créatifs que leurs prédécesseurs, les Y. Leur consommation est plus réfléchie et Internet est devenu un outil pour réaliser des choses et non plus pour se montrer ou collectionner les « Like ». Cela se répercute dans des choix de médias sociaux plus discrets et éphémères, comme Snapchat.

Tiré de l’enquête Génération Z mise à jour en 2019.

Comment perdre un employé en 10 jours

L’intégration est l’élément ayant le plus grand impact sur la fidélisation des employés. Voici donc quelques erreurs à éviter pour de rendre l’expérience mémorable (dans le bons sens du terme…)

[youtube]https://youtu.be/8rVQdka7iwA[/youtube]

 

Première erreur : Ne pas débuter l’intégration avant la première journée

Dès l’embauche d’un nouvel employé confirmée, on peut déjà commencer son intégration en faisant compléter les formulaires requis et en partageant des informations sur le poste et l’entreprise pour déjà créer un lien et s’assurer par le fait même que la première journée ne soit pas ennuyeuse en ne faisant que remplir de la paperasse.

 

Deuxième erreur : Ne pas envoyer des rappels de base la veille

N’oubliez pas qu’une première journée à un nouvel emploi est stressant. Quelques petits rappels peuvent contribuer à diminuer les préoccupations en précisant par exemple comment s’habiller, à quoi va ressembler la première journée, s’il faut apporter un lunch ou pas, etc.

 

Troisième erreur : Faire débuter le lundi ou avant 10 h

Lorsqu’un employé arrive à sa première journée, il faut être à l’accueillir et ne pas être pris dans un tourbillon de problèmes à régler. Si la personne doit patienter longtemps, elle va vouloir aller aux toilettes puis disparaître à jamais dans la toilette « magique »… Bien sûr qu’on peut faire entrer un employé le lundi ou avant 10 h, mais il faut être disponible.

 

Quatrième erreur : L’isoler de ses collègues.

Les nouveaux employés veulent jouer avec leurs amis. C’est important pour eux de valider leur décision en côtoyant leurs collègues le plus rapidement possible et aussi pour vous prouver que vous avez fait le bon choix. Cela permet aussi à l’employeur d’évaluer plus rapidement les nouvelles recrues. Durant l’heure du lunch, trouvez-leur des gens pour leur tenir compagnie et faire connaissance.

 

Dernière erreur : Ne pas lui jumeler de compagnon

Trouvez un collègue de son âge ou qui partage ses intérêts pour l’encadrer afin de s’assurer que l’intégration se fasse de façon harmonieuse et ainsi fidéliser l’employé pour longtemps.

Les revues de performance sont-elles encore utiles?

 

Il y a présentement un débat au sein de la communauté des gestionnaires en ressources humaines à propos du retour sur l’investissement à faire les évaluations de rendement annuelles.

[youtube]https://youtu.be/h-OpRQSlB-o[/youtube]

 

Parfois trop longue à préparer et à réaliser, parfois ardue sur le plan émotif lors d’évaluations conflictuelles, parfois jugée non nécessaire à cause de la proximité entre les employés et leur gestionnaire, plusieurs raisons semblent inciter à remettre l’exercice à plus tard ou à carrément l’abolir.

Même au sein d’une petite entreprise où l’on est capable d’adresser les situations au fur et à mesure, il est quand même important de passer du temps de qualité à partager de façon structurée l’évaluation de la performance d’un employé ainsi que les attentes de son gestionnaire.

Le manque de temps est la principale contrainte soulevée par les gestionnaires quand vient le temps de justifier l’absence de revue de performance. Comment diminuer cet irritant? Il est possible de faire une évaluation en seulement 10 minutes en suivant ces trois étapes: le pot, la graine et la fleur. On débute avec le pot : une chose que l’employé devrait améliorer. On suit avec la graine: un objectif mesurable que vous pouvez décider seul ou conjointement avec l’employé. Finalement, on termine avec une fleur: quelque chose que l’employé fait déjà bien.

La séquence est importante, non pas pour dorer la pilule, mais pour que l’employé sorte motivé de cette rencontre parce que vous avez reconnu une chose qu’il fait bien et ainsi l’encourager à mettre en application le plan d’action sachant que vous êtes capable de reconnaître aussi les bons coups.

Le désir d’éviter des situations difficiles est l’autre obstacle principal au manque d’appréciation de la performance. Ainsi, lorsqu’un gestionnaire octroie une note de deux sur cinq à un employé à propos de son ouverture à la critique et qu’il se fait répondre : « Je ne suis pas d’accord, sur quoi te bases-tu, donnes-moi des exemples… » Ce vrai que ce n’est pas normal quand c’est le patron qui a chaud durant une revue de performance, mais cette responsabilité vient avec le job.

Si ça peut vous encourager, sachez que lorsqu’on tolère des employés sous performants, ce sont les employés performants qui se désengagent car ils refusent de se défoncer alors que d’autres se la coulent douce sans conséquences.

En conclusion, peu importe la méthode que vous utilisez, seulement 20 % du temps de la rencontre d’évaluation devrait être consacré aux actions passées alors que 80 % du temps devrait être consacré aux actions futures : sur quoi l’employé va-t-il travailler, comment va-t-il s’y prendre et comment l’aider à atteindre les objectifs mutuels.

Comment changer l’attitude d’un employé

Est-ce qu’on peut changer la mauvaise attitude d’un employé? Je pense que oui, mais ce n’est pas simple.

[youtube]https://youtu.be/cNKrssHzy0c[/youtube]

 

La première étape consiste à comprendre ce qui a pu provoquer ce changement d’attitude. Est-ce que l’employé est confronté à un changement de rôle ou à un changement technologique pour lequel il n’est pas outillé? À l’inverse, est-ce qu’on confie à la personne une responsabilité bien en-dessous de ses compétences? Ou encore, est-ce que l’individu vit plutôt une situation personnelle difficile? Bien sûr, on n’a pas le contrôle sur tous ces événements et on ne s’attend pas d’un gestionnaire qu’il ait les compétences d’un thérapeute. Cependant, on ne peut rester indifférent à ces situations. Il faut apporter du soutien en orientant les gens en détresse vers des ressources externes pouvant leur venir en aide.

Deuxièmement, les employés doivent comprendre que l’attitude n’est pas un « extra » et que ça fait partie des exigences du poste. Ce n’est pas parce qu’on est le champion des boulons qu’on peut faire suer tout le monde. Il faut donc que les gens comprennent que leur attitude sera évaluée de la même manière que n’importe quelle compétence et qu’il y aura des conséquences s’il n’y a pas de changements.

Lorsqu’un gestionnaire n’agit pas face à un employé qui a une mauvaise attitude, le message qu’il lui envoie est que sa contribution n’est pas importante. N’oubliez pas que si des gens restent chez vous malgré leur mauvaise attitude, c’est probablement parce que le coût de départ est trop élevé pour eux ou pour vous. À vous de décider.

Arrêtez d’arroser les cactus

Comment piloter la progression d’une équipe? La grille de cheminement est un outil simple qui permet d’évaluer une équipe en quelques minutes dans le but de les faire cheminer dans la direction souhaitée.

[youtube]https://youtu.be/8mUFUlTI-nA[/youtube]

 

Tracez d’abord au centre d’une feuille un axe vertical en inscrivant « Attitude » dans le haut et un axe horizontal en inscrivant « Aptitudes » sur la droite.

Ensuite, positionnez l’ensemble de vos employés sur cette grille selon si leurs attitude et compétences sont supérieures ou inférieures à la moyenne (centre de la grille). Il est préférable d’utiliser une grille par poste pour par site si vous avez plus de 20 employés pour des raisons de clarté.

À titre de gestionnaire, si vous deviez consacrer 80 % de votre temps et votre énergie avec les employés d’un seul des quatre quadrants de la grille. Lesquels choisiriez-vous? Ceux qui se situent en haut à droite (Attitude+ et Aptitudes+), en haut à gauche (Attitude+ et Aptitudes-), en bas à droite (Attitude- et Aptitudes+) ou en bas à gauche (Attitude- et Aptitudes-). Ma recommandation : vous concentrer sur les employés positionnés dans le quadrant supérieur droit. En effet, les employés qui ont une attitude et des compétences supérieures à la moyenne ont évidemment besoin de support et d’encouragements à la fois pour renforcer leurs comportements, mais aussi pour inciter les autres employés à s’en inspirer pour faire de même.

 

7 questions pour décrypter l’ADN des performants

En décryptant l’ADN des performants en leur posant quelques questions, vous allez à la fois conserver leur engagement et possiblement recruter des candidats qui deviendront rapidement efficaces chez vous. Voici quelques questions pour vous aider à découvrir pourquoi ces gens-là performent bien dans votre organisation. Si vous avez plusieurs employés performants, débutez d’abord avec votre «TOP 3».

  • Qu’est-ce qui t’a attiré chez nous au début?
  • Qu’est-ce que tu penses faire mieux que la moyenne des gens?
  • Qu’est-ce qui te rend fier de ta journée?
  • Comment aimerais-tu être reconnu?
  • Quel mode de communication privilégies-tu?
  • Que ferais-tu si tu étais le patron?
  • Qu’est-ce qui te retient ici?

En conclusion, arrêtez d’arroser les cactus. Après avoir cherché à comprendre les raisons derrière la mauvaise attitude ou le manque de compétences d’un employé et avoir apporté les correctifs nécessaires, tous doivent savoir où se situent vos attentes. Pour ceux qui traînent dans le quadrant inférieur gauche (Attitude- et Aptitudes-), inspirez-vous de la philosophie de Mark Twain : « N’essaie pas d’apprendre à chanter à un cochon. Tu perds ton temps et ça rend le cochon fou. »

Les 3 piliers de l’engagement

Vision, action et appréciation, tels sont les trois piliers de l’engagement.

[youtube]https://youtu.be/ngvd_6VlbAs[/youtube]

 

Vision

Il est important pour un employé de connaître les attentes de son patron afin d’avoir une direction à suivre. C’est d’autant plus vrai que 67 % des employeurs estiment que leurs employés ne satisfont pas leurs attentes selon une enquête de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante rendue publique en décembre 2018. Même dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, il n’y a pas de mal à avoir des exigences élevées envers ses employés puisque ça ne fait que reconnaître l’importance que vous leur accordez.

 

Action

Pour être engagé, un employé aussi doit pouvoir utiliser ses forces au quotidien. C’est le rôle du gestionnaire d’accompagner ses employés à découvrir leurs forces, un peu comme le fait un parent avec ses enfants. S’il est bon en mathématiques, on l’encourage. Quand elle danse bien, on la félicite. Lorsqu’il est plus rapide à stationner la voiture dans le garage, on augmente les assurances…

 

Appréciation

Le troisième pilier de l’engagement est l’appréciation. Lorsqu’un employé fait un bon coup, il doit être reconnu. Pour ce faire, je vous suggère les coups de deux par quatre. Comment faire? Fixez-vous un intervalle de temps précis (une journée, une semaine, un mois…) et amusez-vous à prendre quatre employés en flagrant délit d’avoir un des deux comportements que vous voulez voir faits. En concentrant votre attention sur ces comportements, vous allez les remarquer et les reconnaître de façon informelle plus souvent. En plus d’encourager ces employés à continuer ainsi, cela va inciter les autres à faire de même.

Recrutement : Les 4 principaux irritants des candidats

Les gens ne cherchent plus du travail : ils veulent vivre des expériences. Quelle expérience allez-vous faire vivre aux candidats qui postulent chez vous? Voici quatre irritants à éviter durant le processus de recrutement.

[youtube]https://youtu.be/dstCNCNEry0[/youtube]

 

Premier irritant : le manque de communication

Un candidat ayant soumis sa candidature réalise que le poste convoité n’est plus affiché sans avoir reçu de nouvelles. Plusieurs questions lui passent alors par la tête : Est-ce que le poste a été comblé ou est-ce que le processus a été retardé ou annulé? Est-ce que l’employeur a bien reçu sa candidature? Est-ce que son profil a été rejeté? Il est donc important pour tout employeur de rester en communication avec les gens qui postulent tout au long du processus.

 

Deuxième irritant : la longueur du processus

Le premier employeur qui répond à un candidat après avoir reçu son curriculum vitae possède toujours une longueur d’avance sur les autres, mais faire vite ne veut pas dire faire les choses à moitié. Si votre processus de recrutement est long, assurez-vous simplement de demeurer en communication avec les candidats tout le long afin d’éviter qu’ils soient tentés d’accepter une offre ailleurs.

 

Troisième irritant : la divergence entre le poste et l’annonce

En voulant en se démarquer à tout prix, un employeur peut être tenté d’être un peu trop créatif dans le titre ou la description du poste ou pire encore, de faire des promesses qu’il ne pourra respecter. Ainsi, n’affichez pas un poste d’ingénieur de la salubrité si vous recherchez un concierge…

 

Quatrième irritant : le mauvais déroulement

La balance du pouvoir est maintenant dans les mains des candidats. En entrevue, ce sont maintenant les employeurs qui répondent aux questions des candidats (et parfois même à celles de leurs parents…) L’employeur doit donc être bien préparé pour que tout le processus de recrutement se déroule à merveille, un peu comme on le ferait pour séduire un nouveau client.

 

En conclusion, si vous évitez ces quatre irritants, vous allez faire vivre une expérience candidat supérieure à la moyenne et vous allez vous démarquer des autres employeurs.

Transformez vos employés en recruteurs

Vingt-cinq pourcent. C’est le niveau de productivité supplémentaire fourni par un candidat qui a été référé par un bon employé. Que faites-vous pour encourager vos employés performants à vous référer des candidats?

[youtube]https://youtu.be/dIWAKlPdxQk[/youtube]

 

Le référencement classique

Avec le manque criant de personnel, il y a de plus en plus des programmes de référencement même dans les PME. Le programme classique consiste à offrir une récompense financière à chaque employé qui réfère un candidat. Ce montant peut être bonifié après un certain temps (période de probation ou année complète) si la personne est toujours à l’emploi. Cependant, un programme de référencement n’a pas besoin d’être coûteux. Une reconnaissance symbolique peut aussi bien faire l’affaire : un certificat, une épinglette ou un babillard photo des « ambassadeurs », une pause allongée ou une journée de congé en récompense, un poste de travail décoré spécialement… Vous pourriez aussi simplement mettre le nom de chaque employé ayant référé un candidat dans un chapeau puis faire le tirage d’un cadeau.

 

Le référencement à double valeur ajoutée

Une lacune importante de la plupart des programmes de référencement est l’absence de récompense pour les candidats. Afin de maximiser les résultats, chaque candidat référé devrait lui aussi avoir droit à un privilège de type VIP « Tapis rouge » ou « Fast Track ». Concrètement, ça peut être un traitement accéléré de sa candidature ou encore la garantie d’obtenir au moins une entrevue téléphonique.

 

Multipliez votre impact

La plupart de vos employés sont présents sur les médias sociaux. Encouragez-les à vous aider à recruter sur différentes plateformes en les invitant à partager un message que vous avez composé pour eux. Est-ce que tous vos employés possèdent leur carte d’affaires? Même s’ils ne sont pas en contact avec des clients potentiels, vos employés peuvent être en contact avec des candidats potentiels. Pourquoi ne pas offrir des cartes d’affaires personnalisées à tous vos employés au verso desquelles figurent les avantages à postuler chez vous. En prime, imaginez l’impact sur la mobilisation d’un employé qui reçoit une carte d’affaires pour la première fois de sa vie…

N’oubliez pas qu’un programme de référencement n’a pas besoin d’être permanent. Vous pourriez l’essayer durant une période précise où vous avez beaucoup de recrutement à faire. Alors quels moyens êtes-vous prêt à mettre à la disposition de vos employés pour vous aider à recruter davantage de bons candidats?